Success Story

L’OFFICE NATIONAL DE TOPOGRAPHIE ET D’INFORMATION GÉOGRAPHIQUE RENOUVELLE SON PAYSAGE INFORMATIQUE EN UN TEMPS RECORD

Quiconque prévoit un projet de construction en Rhénanie-Palatinat risque d'être surpris. Des données précises et actualisées sur les propriétés et le terrain sont disponibles et peuvent être utilisées directement sans qu'il soit nécessaire d'effectuer des levés sur place. Cela est rendu possible par diverses technologies utilisées aujourd'hui par l'Office d'État de Rhénanie-Palatinat pour l'arpentage et l'information géographique (LVermGeo) : les données satellitaires et les photographies aériennes à haute résolution sont évaluées dans l'ordinateur, et le système calcule de manière fiable toutes les coordonnées à partir de celles-ci. Le réseau par lequel les données sont transmises quotidiennement doit être aussi puissant. Dans ce contexte, Jean Sachreiter, responsable informatique du bureau d'État et coordinateur informatique, a dû relever deux défis majeurs : tout d'abord, il a dû trouver un concept répondant aux exigences de son autorité. Ensuite, il ne disposait que de cinq mois pour la mettre en œuvre sur un nouveau site. En étroite collaboration avec MICROSENS GmbH & Co. KG, l'équipe informatique a planifié et mis en œuvre un réseau basé sur Fiber To The Office en collaboration avec l'Office national des données et de l'information (LDI). Tous les employés peuvent désormais utiliser 1 Gbit/s sur leurs postes de travail.

Mesure de la Rhénanie-Palatinat en détail

Chaque position au sein de l'État doit être déterminée en fonction de son emplacement, de sa hauteur et de sa gravité. L'établissement de cette référence spatiale en termes de mensuration est l'une des tâches essentielles de l'Office d'État. En outre, les employés de l'autorité collectent et mettent à jour en permanence des informations géotopographiques et publient de nombreuses cartes topographiques à différentes échelles. Par le passé, les géomètres devaient régulièrement se rendre sur le terrain pour effectuer cette tâche. Aujourd'hui, les satellites enregistrent la structure de la surface terrestre et les photographies aériennes prises par les avions permettent d'affiner ces informations. Pour mettre cela en perspective, même des objets de 20 centimètres peuvent être reconnus sur l'image aérienne grâce au balayage par milliards des capteurs d'images. Dans les zones urbaines, la résolution atteint même 10 centimètres. Les volumes de données concernés sont énormes : par exemple, une seule image aérienne en couleur comprenant un canal infrarouge mesurant deux kilomètres sur deux à une résolution de 20 centimètres génère un volume de données de 400 Mo - si la résolution est portée à 10 centimètres, le volume de données quadruple. Si l'on tient compte des besoins de stockage des environnements productifs et d'autres données, on arrive à un total d'environ 120 téraoctets de données que le bureau d'État stocke et gère - et qui ne cesse de croître.

Une solution rapide s'impose

Fin 2014, l'agence a reçu la surprenante nouvelle qu'elle devrait quitter son précédent bâtiment d'ici quelques mois. Heureusement, des locaux adaptés ont été trouvés à court terme pour les 320 employés. Cependant, il est rapidement apparu que l'infrastructure réseau existante ne pouvait pas être utilisée. En collaboration avec l'Office national des données et de l'information (LDI), qui a soutenu le projet en tant que fournisseur central de services informatiques de l'État, l'autorité a décidé d'installer un câblage en fibre optique entièrement nouveau dans le bâtiment. Ainsi, la limitation de la longueur du cuivre à un maximum de 100 mètres ne s'applique plus, les gaines de parapet n'ont pas dû être agrandies et les distributeurs d'étage supplémentaires sont devenus superflus. Dans le même temps, le bureau d'État a externalisé de nombreux services informatiques, notamment en matière de stockage de données, à la LDI. La question se pose maintenant de savoir comment les différents postes de travail doivent être connectés au réseau. Jean Sachreiter cherchait une solution pour utiliser les connexions en fibre optique jusqu'au bureau et ne connecter les appareils finaux qu'en cuivre. Il a rapidement découvert la solution FTTO de MICROSENS : les micro-commutateurs sont installés directement dans le chemin de câbles et peuvent transmettre jusqu'à 1 Gbit/s. Ils peuvent être connectés en étoile aux différents postes de travail. Ils peuvent être connectés au commutateur central dans une configuration en étoile sans qu'il soit nécessaire d'installer un distributeur d'étage supplémentaire.

Une infrastructure puissante en un temps record

Avec son équipe, Jean Sachreiter a systématiquement planifié la mise en place du nouveau réseau et défini les étapes nécessaires au transfert de la technologie. Tout d'abord, à la fin du mois de juin 2015, l'équipe informatique a transféré l'ensemble des serveurs précédemment locaux de l'Office national de topographie vers le centre de données central du LDI à Mayence. À cette fin, une connexion WAN à 1 Gbit/s a été louée temporairement dans l'ancien bâtiment afin de pouvoir accéder à toutes les données comme d'habitude. Plus tard, elle a été remplacée par une connexion à 10 Gbit/s vers le nouveau bâtiment.

Fin juillet, toute l'infrastructure informatique a été déménagée : le vendredi, tous les PC ont été démontés et le lundi, tous les employés travaillaient déjà sans problème dans le nouveau réseau. Bien entendu, le fait que tout le câblage et l'installation des micro-commutateurs dans les goulottes des bureaux aient pu être réalisés au préalable a constitué un avantage. Tous les bureaux sont connectés dans une configuration en étoile par des commutateurs de niveau 2 dans la salle de distribution avec des câbles en fibre optique. Tous les employés ont accès à un micro-commutateur avec une bande passante d'un Gbit/s, auquel les stations de travail, les PC et les téléphones sont connectés à l'aide de câbles en cuivre standard. Il n'est donc pas nécessaire de prévoir des prises d'alimentation supplémentaires pour les téléphones IP : ils sont directement alimentés en électricité par la fonctionnalité Power-over-Ethernet des micro-commutateurs. Le logiciel de gestion intégré de MICROSENS apporte également de grands avantages. Il assure la sécurité du port et prend en charge toutes les normes de gestion. Dans l'ensemble, Jean Sachreiter est enthousiasmé par la nouvelle infrastructure : "Nos utilisateurs peuvent accéder à toutes les données de manière rapide et fiable via les commutateurs MICROSENS, sans avoir à acheter des cartes réseau à fibre optique coûteuses pour chaque ordinateur. L'utilisation de la téléphonie IP, y compris la qualité de service, fonctionne également sans problème." Dans quelques années, le responsable informatique en est sûr, les micro-commutateurs seront capables de traiter jusqu'à 10 Gbps. En effet, la soif de données de l'Office national de topographie et d'information géographique est loin d'être satisfaite.

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A propos de MICROSENS

La transmission d'informations par des connexions à fibres optiques présente de nombreux avantages. MICROSENS GmbH & Co. KG l'a reconnu très tôt. L'entreprise, qui fait partie des pionniers, développe et produit des systèmes de communication et de transmission à haute performance en Allemagne depuis 1993. Adaptés individuellement aux exigences des différents domaines d'utilisation et intégrés dans des concepts globaux pour les différentes industries. Mais surtout, proche du client. Les défis techniques des projets des clients se répercutent directement sur le développement des produits. Il en résulte des solutions d'automatisation basées sur IP pour les bâtiments modernes, des concepts de réseau rentables pour les bureaux et les postes de travail, des solutions robustes et à sécurité intégrée pour les environnements industriels, des systèmes de transport optique pour les réseaux étendus d'avenir et la liaison efficace des sites et des centres de données.